Mythe ou Réalité?
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 ||Annabelle Rask || VULGAIRE

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Annabelle Rask
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Annabelle Rask


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MessageSujet: ||Annabelle Rask || VULGAIRE   ||Annabelle Rask || VULGAIRE I_icon_minitimeLun 26 Avr - 22:00

|| Sur votre Personnage ||


Nom : Rask.
Prénom : Annabelle.
Surnom : Ann ou Anna.
Âge : 18 ans.
Date de naissance : 12 Mai 1991

Statut : Dealer dans mes temps libre. Barmaid dans un bar de danseuse & danse parfois pour le dépannage!
---
Histoire :

||Vie Familiale ||


Maman nous mit au monde, ma sœur et moi le 12 Mai 1991. Elle avait été très forte et courageuse, du moins, c’est ce que disait papa. Il me tenait dans ses bras, alors que ma jumelle se trouvait dans ceux de maman. Ils discutaient au sujet de nos noms. Ils en vinrent finalement à Kimberley pour ma sœur et Annabelle pour moi. La sortie de l’hôpital se fit quelques jours plus tard, les médecins ayant attendus que nous trouvions un poids régulier. Nous étions forte et ne tardèrent pas à maintenir un poids normal pour des jumelles.

De retour à la maison, nous reçûmes beaucoup de visiteur. La famille et les amis. Beaucoup de présents nous eûmes été offerts. Dont deux chaînes en or avec la première lettre de notre prénom, soit un K et un A. Pendant plusieurs jours, la maison grouilla de monde, me rendant de moins en moins commode. Je pleurais plus souvent, ressentant le besoin de calme et de silence. Le bébé que j’étais, était épuisé de se faire secouer de tout bord tout côté. Heureusement, au bout d’une semaine les choses se calmèrent et je pus me reposer. En général, je n’étais pas un bébé bien difficile et donc cela aida nos parents. Du moins, pour un temps. En général, ils étaient heureux ensemble. Bientôt, ils fêteraient leur 8e année de vie commune, ce qui était chose extraordinaire de nos jours.

|| Fatalité ||


Nous étions âgés de trois mois et quelques jours à peine. Les parents se préparaient pour leur soirée en amoureux. Kim’ et moi étions encore trop petites pour comprendre ce que cela leur signifiait vraiment, mais même bébé on ressentait leur amour immense qu’ils éprouvaient l’un pour l’autre. Grand-maman, la mère de notre maman, sonna à la porte et papa alla ouvrir. Dorothey se trouvait encore à l’étage pour se préparer. Kimberley et moi fûmes bientôt près pour la nuit, papa et grand-maman finirent de nous enfiler nos pyjamas avant que nos aimants parents ne viennent nous embrassé et nous dire combien ils nous aimaient. Ils souhaitèrent une bonne soirée à grand-mère et quittèrent.

Plus tard dans la nuit, des lumières coloré me réveillèrent et des coups frappé à la porte déclenchèrent mes pleures. Grand-mère qui s’était probablement endormit au salon s’était réveillé et était allé répondre inquiète par la luminosité qui traversait les fenêtres. Je n’étais pas encore consciente, à ce moment, de ce qui se passait vraiment. Mais lorsque grand-maman vint me voir pour me calmer, je savais qu’elle n’allait pas bien. On disait que les bébés étaient d’avantage empathique à ce qui les entourait et j’en étais la preuve. Grand-mère pleurait tout en essayant de me consoler. Elle venait d’apprendre le tragique décès de nos parents.

Jeffrey et Dorothey avait prit quelques verres de trop sans doute. Ils avaient manqué de prudence sur le chemin du retour. La moto fut percutée de plein fouet, envoyant plus loin les deux amoureux. Les policiers avaient annoncé à notre grand-mère que Dorothey n’avait pas souffert, étant morte sur le coup. Par contre, Jeffrey avait été, pendant un temps, dans un coma qui fut bref. Après ce tragique événement, les deux jumelles que nous étions, Kimberley et moi, furent séparé. On nous envoya dans un orphelinat. Certaine famille nous accueillir, séparément, pour notre simple confort, sans jamais nous adopter…

|| Révélation ||


Je grandissais, voyageant d’une famille à une autre. J’en étais à ma troisième. Mon caractère n’était plus aussi facile, comme s’il me manquait quelque chose. Les adultes qui s’occupaient de moi n’arrivaient plus à me calmer et finissaient toujours par abandonner. Je grandis donc dans un milieu peu stable et je devins, une petite terreur d’enfant. À l’école les jeunes de mon âge n’osaient pas m’approcher. Personne ne me percevait comme la petite fille brillante et affectueuse que j’aurais du être. J’étais loin d’être affectueuse, même que j’étais agressive. S’était comme une seconde nature. Cependant, j’étais très intelligente, bien que je ne démontrai pas mon plein potentiel. Mes enseignantes conseillèrent à mes parents d’accueil de me faire rencontrer des thérapeutes, afin qu’ils m’aident à passer à travers la mort de mes parents biologiques, dont je connaissais la vérité, et les changements de maison. On m’accompagna à mes rendez-vous. Je restais assise sur la chaise, sans parler, l’homme devant attendant. Sans succès! Je ne parlai jamais. On en vint à ne plus me faire endurer ces séances en disant que ça finirait par passer.

J’avais perdu tout contacte avec la seule vraie famille qui me restait. Étions-nous toujours dans la même ville, dans le même cartier? Ou Kimberley s’était-elle retrouvée ailleurs, sur un autre continent? Je n’aurais pu le dire, car non seulement je n’avais plus le moindre contacte avec elle, mais aussi parce que je ne me souvenais pas d’elle tout simplement…

Je passai mon douzième anniversaire dans ma quatrième famille d’accueil. Ces derniers tentèrent de me faire plaisir en me préparant un super anniversaire, mais ces derniers se frappèrent à un mur de pierre. Mon arrogance et mon désintérêt les choquèrent, mais se dire que s’était seulement une question de temps. Le temps que je m’habitue à leur mode de vie. C’était des gens plutôt sympa, je ne pouvais le nier. Riche à craquer. Il faut dire que je profitai énormément de leur richesse. Pour essayer d’en connaître d’avantage à mon sujet et pour tenter d’avoir un peu d’amour de ma part, ils m’achetèrent tout ce que je désirais et me donnèrent tout l’argent que je demandais. C’était assez génial comme vie. Bref. L’année d’ensuite, pour mes 13 ans, Dwayne et Lisa me proposèrent un voyage en République Dominicaine. Il fut évident que j’acceptai cette offre! On partit après la fin de l’école, soit en début Juillet.

Il y avait une semaine qu’on était sur les plages de la République. Les journées furent amusante et bien chargé. Je n’avais pas le temps de m’écraser la tête à faire des folies. Et ça me fit un bien fou. Cependant, cette soirée là fut le déclenchement de la suite des événements… Dwayne et Lisa étaient allé se couché, pensant que j’allais les suivre. Cependant, ce ne fut pas le cas. Une fois qu’ils furent couché, je quittai la chambre en douce, comme j’avais prit l’habitude de le faire depuis notre arrivé ici. Je m’étais rendu sur la plage, et m’y était sagement assit afin de regarder les étoiles et me laisser bercer par le doux son des vagues de la mer.

Des cris et des rires avaient soudainement attiré mon attention. J’avais tourné la tête en direction des bruits, pour constater que plus loin, il y avait un feu et des gens. Malgré mon bas âge et ce qu’on m’avait apprit –ne pas parler à des étrangers- je m’étais approché d’eux d’une démarche naturellement provocante chez moi. C’était inné. Il y avait là, des garçons et des filles, certains échangeant leurs germes. Sans attendre, l’un des gars là, bouteille de rhum en main, s’était approché de moi et m’avait tendu la bouteille avec un sourire sournois. Je l’avais prise et en avait but une bref gorgé. Le goût avait été terriblement fort et chaud dans ma gorge. Néanmoins, je m’amusai avec eux, jusqu’à ne plus être totalement saine d’esprit. C’est aussi à ce moment là, alors que je m’étais retrouvé seule avec ce bel étranger, qu’une pulsion inconnue me surprit. Nous nous étions éloignés du reste de la bande, marchant sur la plage, l’eau mouillant nos pieds nus. On s’était dirigé près d’une passerelle et là, Aymeric m’avait appuyé contre une poutre avant de tenter de m’embrasser. Je le repoussai vivement, lui criant que je n’étais pas une fille facile et m’étais vivement rué sur lui, plantant des dents, jusque là caché, dans son cou. Le sang chaud du Républicain me fit un bien fou. Je savourai jusqu’à la dernière goûte ce goût délicieux, que je goutais pour la première fois. Et j’avais quittai…

|| L’enfer brûle & … Tue! ||


Voilà, j’avais 14 ans. Ouais, une année fatale pour mon entourage et moi-même du coup. J’allais dans une école publique, n’ayant pas les notes nécessaire pour aller dans une école privée. Je vivais encore chez Dwayne et Lisa, les seuls tuteurs qui avaient réussis à me garder si longtemps avec eux. Enfin. J’étais avec deux amis, cette journée là. On avait décidé de sécher les cours et d’aller déconner. On s’était aventuré dans un parc et s’était arrêté à un banc, sous un arbre. Je me permis de grimper à l’arbre, pendant que les deux autres s’assoyaient. L’un d’eux sortit un petit boitier de son sac :

- J’ai trouvé le stock de mon frère, nous avisa-t-il.

Je jetai un coup d’œil en bas, voyant Jaccob sortir… J’admets avoir été surprit de voir ce qu’il tenait entre ses doigts. Il porta, ce qui ressemblait à une cigarette, à sa bouche et à l’aide d’une allumette, alluma. L’odeur monta tout de suite à mes narines et je souris. Il « puffa » deux coups avant de carrément s’étouffer, passant le joint à Éléanore, une copine. Cette dernière imita l’autre, réagissant de la même manière, pour finalement me le tendre. Je le pris, évidement et le gardai pour moi.

-Allumes-en un autre pour vous deux, leur dis-je.

Moi, je n’allais pas bouger de mon perchoir pour sans cesse leur rendre. Ils chialèrent un peu, avant de s’exécuter. Je savourai ce petit bijou, que j’appréciai énormément, malgré le nombre de fois où je m’étouffai. Après tout, c’était la première fois. Nous profitâmes donc de tout l’après-midi, à nous geler la bette. Les gens se faisaient de plus en plus présents autour de nous lorsque nous décidâmes de cesser notre plaisir. On riait pour un rien, on était violent les uns envers les autres, surtout Éléanore et moi, Jaccob préférant rester plus sage, mais on s’amusait. Nos yeux étaient au vif, on ressemblait presque à des zombies.

J’eus ma première fausse carte lorsque j’eus 15 ans. C’était le cadeau de mon petit copain. Ouais, j’avais un copain super génial qui m’aimait tel que j’étais et qui partageait mes moments de folies. Pour ma fête, il avait déjà préparé une superbe soirée, dans un bar où un événement particulier se préparait : « Le bal en blanc ».

-Soit chez moi à 8 heures, belle rousse, me dit-il avant de m’embrasser et partir.

Vivement que la fin de la journée arrive! J’aurais bien aimé sécher les cours de l’aprèm, mais depuis quelques temps, ma fausse mère me faisait suivre. La fin de la journée arriva enfin. Je ne tardai pas à ma case filant tout droit au «nid familiale».

-Où vas-tu comme ça, jeune fille? Me lança mon faux père.

-Sous la douche, ensuite chez Jaake.

Je l’entendis me parler, sans l’écouter. J’avais filé dans l’escalier, me dirigeant tout de suite à ma chambre. Sans doute m’interdirait-il de sortir ce soir, mais je m’en foutais royalement. Je verrouillai la porte de la chambre, entendant justement des coups. J’allumai mon stéréo, mit le volume au fond, coupant ainsi la voix du dit paternel qui gueulait. Je préparai des vêtements simple et propre et filai sous la douche, dans ma salle de bain privée.

Après m’être rapidement préparé, je passai une heure tout au plus devant l’ordinateur. Je clavardai avec des amis par rapport à ce soir. Le temps écoulé, je quittai la maison, évitant le père. Je me rendis au centre ville où je me rendis à la boutique de tatouage et piercing du cousin de Jaake. Je me payai mon cadeau d’anniversaire en me faisant tatouer deux cœurs côtes à côtes sur le poignet gauche en souvenir de mon beau. Justement, je me rendis chez lui tout de suite après. Ça prit environ 15 minutes avant que je ne sois chez lui. Là, je retrouvai un petit gang qui me souhaitait joyeux anniversaire. C’était avec eux que nous allions sortir! La maison fumait de partout, tous en profitaient vu l’absence des vieux. Le gang flashait beaucoup, tous habillé de blanc.

Jaake, jean blanc, avec une chemise de la même couleur. Il me tendit une boîte que j’ouvris. Elle contenait des vêtements tout blancs – pantalon taille basse et ajusté, avec une camisole à bretelle - et des bracelets fluorescents. Je me dépêchai d’aller tout enfiler. Nous étions maintenant tous prêt pour le plaisir, du moins presque. Jaccob m’offrit son petit cadeau, une jolie pilule en forme de fleur. Je souris, y’avait longtemps que je l’attendais. C’était de l’extasie, elle allait me soutenir pour une partie de la soirée. Il me dit qu’il en avait suffisamment pour tout le monde, mais que seul moi n’avais pas besoin de payer. Tous en chœur, nous avalâmes notre « relaxant » et partîmes pour la fête. Je bus, fumai, avalai à flot, jusqu’aux petites heures du matin, nos cartes ayant été approuvé. Je dormis chez Jaake, où nous profitâmes de notre état second pour partager un beau moment ensemble.

Le mois suivant, Jaake m’apprit qu’il devait déménager. Je demandai pourquoi et il m’apprit que ses parents avaient tout découvert à son sujet. Il allait devoir aller en centre de désintox’ et rejoindre de la famille en Outaouais. Ce départ me causa d’avantage de douleur. Je ne me gelai plus qu’une ou deux fois par semaine, c’était devenu à tous les jours. Ce n’était plus que de la marijuana, ou de l’extasie. Je tombai dans plus fort. Pendant un temps, la cocaïne me fit du bien. Je n’allais plus en classe, flânant ici et là. Je me fis arrêter à quelques reprises… Faux papa payait toutes les quottions, chaque fois me répétant de cesser. Ce n’était plus la peine qui me faisait agir ainsi, mais la dépendance. J’avais besoin de ma dope. La coke ne me faisant plus, avec de nouveaux copains, je penchai sur pire encore : L’héroïne. Je me vêtais sans cesse de coton watté à capuchon, évitant ma sale gueule et mes blessures à tout le monde. Rapidement, je ne devins que l’ombre de moi-même.

Un soir, j’étais seule, dans ma chambre, ma musique démoniaque dans le plafond, porte verrouillé. J’étais assise sur le fauteuil près de la fenêtre. J’attachai, bien serré, un élastique autour de mon bras terriblement marqué! Je pris la seringue sur la petite table, retirai le capuchon protecteur avec ma bouche, le recrachant sur la moquette. Je serrai les dents, en enfonçant l’aiguille sous ma peau et injectai le produit en moi! Je laissai tomber l’objet au sol, m’évachant complètement sur le fauteuil, défaisant l’élastique. L’effet se fit aussitôt ressentir! Je me sentis de plus en plus mal. Mon corps ne répondit plus à mes ordres, si bien que je me vidai les boyaux sur moi-même avant de perdre conscience.

Lorsque je repris finalement connaissance, j’eus un mal fou à ouvrir les yeux. La blancheur des lieux m’aveuglant. Le tintement des machines m’apprit où je me trouvais. J’étais dans une chambre d’hôpital, branché sur des machines de toute sorte. Je voulu soupirer, mais ma gorge sèche m’en empêcha. Je tentai de bougeai sans grand succès, mon corps me faisant trop souffrir.

-Ne bougez pas, ça sera bien pire sinon.

C’était une femme qui me parlait. Je la vis seulement lorsqu’elle fut près de moi. Elle me somma d’ouvrir la bouche pour prendre ma température et vérifia mes signes vitaux, tout en compilant toutes les données des machines. Le médecin vint ensuite me voir pour m’expliquer ce qui s’était passé.

-Mademoiselle Rask, vous avez été intoxiqué. Il nous a donc fallu nettoyer votre sang et vous faire quelques transfusions sanguines.

En d’autre mot, j’avais « bad Trippé ». Mais quoi? Ma dope avait passé près d’me tuer? Ce con, il allait me le payer! Me vendre de la merde, ça je ne le prenais pas! Je restai silencieuse, ne désirant pas en parler. On me garda sous observation pendant plus d’une semaine. Bien sûr, mon corps réclamait sa dose, mais j’étais en sevrage total. Si seulement on me donnait un petit quelque chose pour m’aider à ne pas autant souffrir. C’était stupide de me laisser dans de telles douleurs! Je devais faire d’énorme crise avant qu’ils ne se décident à me donner un calmant! Lorsqu’ils furent bien certains que je réagissais bien au traitement, ils me permirent de sortir, en me donnant le simple conseil de ne plus recommencer. Et puis quoi encore?

Après ma sortie, il fut évidant que j’allai tabasser, à ma façon, le dealer qui m’avait vendu cette merde. Eh oui! J’avais découvert un dont chez moi. Je savais faire les plus horribles des massacres! J’étais une vraie mangeuse d’homme, et pas qu’au sens littérale. Je mangeais tout ce qui, à mes yeux était comestible. Bref. J’en profitai pour me servir et je retournai à la maison où mes parents m’attendaient sagement. Étrange, il y avait longtemps que je ne les avais pas vus. Ils m’ordonnèrent de m’asseoir, avec un sérieux qui ne leur était pas commun. J’obéis.

-J’en ai vraiment marre de tes conneries, jeune fille.

-Quoi? D’quoi tu parles? Crachai-je amer et feignant l’innocence.

-Tu dois partir! Lâcha le paternel sur le même ton que le miens.

- T’veux rire?

-Ah non! Qu’as-tu fait il y a deux semaines?

Je fronçai les sourcils, furieuse! Mais je ne sus pas quoi lui répondre. Le pire fut lorsqu’il m’annonça mon départ dans moins d’un mois. Eh merde! J’étais dans de beaux draps! Sans mot dire, je quittai et m’enfermai dans ma chambre. J’ouvris la fenêtre et me roulai le meilleur joint depuis longtemps. En fait, les joints, puisque j’avais décidé de cessé l’héroïne. Je me gelai jusqu’à m’endormir, tranquille, l’esprit libre. Je n’avais pas envie de retrouver une nouvelle famille d’accueil.

|| Retrouvailles ||


Ayant entendu parlé de mon séjour à l’hôpital pour cause d’overdose, heureusement contrôlé, l’école secondaire où j’allais avait refuser de me reprendre. Mes parents n’avaient pas tardé à me trouver une nouvelle école. Je dus faire plus loin en autobus, m’enfin. Sur mon horaire, il y avait cours d’Éducation Physique. Comme si j’avais besoin de ça? La forme, je l’avais! Courir pour fuir les policiers, ça me connaissait, alors… Bref. Je m’étais changé dans les vestiaires en silence, ne me préoccupant peu des autres filles présentes. Quoique, le vestiaire était pratiquement vide à mon arrivé. J’étais entré dans le gymnase, constant que l’on devait jouer au volleyball. Étais-je doué à ce jeu? Bah, pas tellement. Je m’étais placé, distraite, jusqu’à ce qu’un garçon de mon âge attire mon attention et que je me tourne vers lui. Il s’était présenté à moi et au moment où j’allais ouvrir la bouche «PAF! », ballon sur le derrière de la tête. Je m’étais retourné vivement vers celle qui avait osé, mon regard froid et sanguinaire posé sur… Je perdus tout air démoniaque, trop surprise de voir ce qui se trouvait devant moi. Elle était rousse, yeux bruns, bien munit. Elle était identique à moi. Un sosie, parfait? Non! Mes yeux s’étaient étrangement posé sur la chaînette qui pendait à son cou. Automatiquement, j’avais agrippé la mienne. S’était pareil, à l’exception de la lettre. Elle un K, moi un A.
-Tu es une Rask?

-Et toi une Rask?

Wow ! Plutôt étrange comme situation. Elle ne tarda pas à prononcer mon nom. Elle se souvenait de moi. Et plus je l’observais, plus elle me semblait familière et son nom apparut si nettement dans ma tête.

-Kimberley…

Mon retour à la maison, mes parents avaient déjà fait mes valises ils m’attendaient. J’étais furieuse à l’idée qu’ils me mettent dehors. Je ne voulais pas partir, je ne voulais pas être envoyé dans une nouvelle famille. Vivre dehors, plutôt que de subir de nouveaux changements! J’étais tellement en colère, que mon instinct animal me prit de court et j’attaquai ceux qui avaient prit soin de moi une bonne partie de mon adolescence. Je les détruis si sauvagement que même moi j’en fus troublé. Pour me soulager de mon angoisse, je fumai toute la soirée en nettoyant les dégâts dont j’étais coupable. Heureusement, les preuves avaient été éliminées. Moi je garderais la maison, invitant Kimberley a y emménagé, vu qu’elle n’avait aucun toit! J’avais hérité d’une fortune, depuis le temps que je vivais avec Dwayne et Lise! De plus, les cartes de crédit de mes défunts tuteurs étaient à notre entière disposition. Alors pourquoi pas se servir?

|| Aujourd’hui ||


J’ai réussit à obtenir mon diplôme d’étude secondaire (DES), de peine et de misère. Malheureusement, les notes n’ont pas été suffisamment élevé pour que je puisse me lancer dans des études plus approfondit. J’ai donc du vendre ma propre dope à des jeunes comme moi, afin de réussir à payer tout ce que je devais payer – fringue, bouffe, électricité/chauffage, etc. …-. Lorsque j’eus 18 ans, je pus jouer de mes charmes et me trouver un boulot plus intéressant dans un bar de danseuse nue, du coin, où il m’arrive parfois de danser pour dépanner lorsqu’une fille s’absente. Malgré le médiocre parcours de ma vie, je suis une battante et j’obtiens toujours ce que je veux… Presque toujours! J’ai retrouvé ma famille, je prends généralement soin de ma sœur. Bien que c’est souvent le contraire. On s’entraide mutuellement. On est toujours là l’une pour l’autre et c’est ce qui compte. Je vis ma vie comme je l’entends et ça me suffit.

---
Description physique :
Qui a dit que les rousses n’étaient pas jolies? Eh bien, je suis rousse et plutôt canon je dirais. Je porte mes cheveux roux assez long, ils cascadent jusqu’au centre de mon dos. Mes pupilles brunes caramel sont encerclées d’un beau rayon doré, en plus de laisser entrevoir un reflet orangé en son intérieur. J’ai des yeux vraiment particuliers et très beaux! Malheureusement, je ne peux me partager seul ce mérite, puisque Kimee’ à les mêmes que moi. Contrairement aux autres rousses, mon corps n’est pas recouvert de ces tâches de rousseurs. Heureusement! Bien que cela n’aurait rien changé à ma beauté. Ma peau est claire, sans être nécessairement trop blanc.

Mon visage; à part mes adorable yeux, j’ai un nez bien centré, ni trop long, ni trop gros. J’ai une bouche aux lèvres suffisamment pulpeuse et toujours lubrifié de mon gloss à la vanille. Mes yeux sont bien placés, pas trop écarté, ni trop rond ou gros. J’ai des oreilles bien placé, pas trop écarté, je ne ressemble pas du tout à Dumbo l’éléphant!

En ce qui concerne mon corps ; je fais 5 pieds et 10 pouces. Oui, je suis grande! Disons que je n’ai pas besoin de porter de talons hauts. Mes formes sont bien alimentées, mais surtout très bien proportionné au reste de mon corps. Je ne suis pas bien grosse, pas seulement parce que je tiens la forme, mais surtout parce que c’est un des effets de la drogue et ce malgré les «mooncheese». J’ai des fesses rebondies, mais pas énorme. Sur mon poignet gauche, j’ai un tatou représentant deux cœurs côte à côte.

Autre chose à ajouté… Je ne crois pas. Si y a quoique ce soit d’autre, je vous promets de vous en faire part!


Description psychologique :
PERSÉCUTRICE.COLERIQUE.DIRECTE.INDÉPENDANTE. Je suis ainsi depuis toute petite. Pourrais-je un de ces jours changé la personne que je suis? J’en doute. Il est facile, pour moi, de me mettre en colère. Si quelque chose ne me plaît pas, on ne tarde pas à en connaître les conséquences. Bien que j’adore ma sœur et que j’aime lorsqu’elle m’aide, je ne peux m’empêcher de vivre indépendamment ma vie. Elle est là avec ses bons conseils, mais je suis seule maître de mon destin.

DIRIGEANTE.ENJOULEUSE.FORTE.OGUEILLEUSE. J’ai plus d’un tour dans mon sac pour attirer les gens dans ma toile. Mon attitude sensuelle de nature me permet d’avoir les hommes plus facilement, bien que mes charmes ne fonctionnent pas avec tout le monde, à mon grand désarroi. Néanmoins, je suis une tête dure et ne lâche pas prise. Au pire, j’ai toujours mon arme secrète… J’ai beaucoup d’orgueil, autrement dit, je déteste me faire tourner de bord, je préfère être cette personne qui détruit les gens que le contraire.

FRANCHE.OUVERTE.DYNAMIQUE.NARCISSIQUE. Je ne suis pas menteuse, mais je joue le plus clair de mon temps avec la vérité. Je la dévie et la modifie pour qu’elle semble d’avantage intéressante et ou moins louche aux yeux des autres. Je suis plutôt ouverte d’esprit, et même si j’aime beaucoup avoir l’attention sur moi, j’aime bien connaître la pensée des gens. Je suis naturellement dynamique, j’aime lorsque ça bouge…

J’omets de dire que je suis aussi un tantinet trop souvent dans les vapes! La drogue est une partie de ma vie qui m’aide à me détendre. Beaucoup me dise que ce n’est pas le meilleur moyen et si eux on trouver quelque chose de bien pour eux, alors tant mieux! De mon côté, c’était ce que moi j’avais. Tout comme ma sœur se lâchait dans l’alcool. Bref. Lorsque je me retrouve dans cet état second, je deviens plus sensible à mes sens animal. Il est donc, pour ceux qui me connaissent, déconseillé de me provoqué lorsque je ne suis pas complètement à jeun. Quoique…

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Avatar : Danneel Harris

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MessageSujet: Re: ||Annabelle Rask || VULGAIRE   ||Annabelle Rask || VULGAIRE I_icon_minitimeMer 28 Avr - 21:11

Le duo d'enfers!!!!

Damnée incontestée!
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