||Kimberley Rask|| VULGAIRE

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Je m’appelle Kimberley Rask. Du haut de mes 18 ans, il est impossible d’imaginer ma vie par une personne comme vous, et c’est un phénomène très simple à expliquer, en faite. Tout simplement parce que vous n’êtes pas moi, et que je ne suis pas vous. Lorsque vous vous plaigniez d’avoir une vie merdique, je m’arrange pour vous faire comprendre qu’il y a bien pire que vous. Vous vivez la belle vie? Je suis également là pour vous montrer qu’il y a pire que vous, ou encore que vous n’êtes pas le meilleur. Vous voyez? Jamais vous n’atteindrai le fond, ou le top, car selon la théorie d’un certain vieux shnock que vous nommé philosophe, vous n’Arriverai jamais à votre but ultime puisque vous êtes toujours à la moitié de la moitié. Freak n’est-ce pas? Vous ne pouvez vous imaginer à quel point c’est encore bien pire que ce que vous le croyez…

Aujourd’hui, je suis ce que l’on peut appeler une dévergonder, une fille facile ou encore une putain, appeler ça comme vous voulez. Étonnant me direz vous! Pourtant, j’ai tellement l’air d’être une fille bien, pleine d’ambition et avec un avenir prometteur…¨ca, c’est ce que vous voulez bien voir, vous êtes portant si ignorant vous, les humains. Si vous saviez! Comment en suis-je arrivé là? J’étais faite pour m’y rendre, bien que je n’en sois toujours qu’à la moitié de la moitié…

|| La première lueur de vie||

Je suis venu au monde un 12 Mai, en l’an 1991. Mes parents, Dorothey et Jeffrey Rask, m’attendaient avec impatience. Ou devrais-je dire, nous attendais! En effet, même si je pointai le bout du nez le première, je ne fus pas seule à sortir de se nid douillet qu’était le ventre de ma mère. Une seconde petite fille, identique à moi, daigna ce montrer. L’accouchement se passa sans aucune embrouille, et j’ouvris mes yeux sur se monde pour la première fois alors que j’étais confortablement installé sur le ventre de ma mère. Ma sœur, elle, était blottit dans les bras de mon paternelle…de NOTRE paternelle. Ce fus à cet instant que nos prénoms furent choisit, et depuis je ne pouvais que me poser des questions face à cette décision. Ma sœur fut nommée Annabelle, prénom français tout à fais charmant. Je fus baptisée Kimberley, que personnellement je trouvais plutôt avoir une connotation anglaise. Mais là ce limitait nos différence car Ann et moi étions méconnaissable. Seul nos parent y arrivait, et encore Jeffrey y arrivait qu’une fois sur deux. L’important, c’était que maman nous reconnaisse, et je n’appris jamais comment elle y arrivait.

C’est quelques jours plus tard que la nouvelle petite famille retourna à la maison. Un certain enfer nous accueillie, une foule assez impressionnante avec une montagne de cadeau. Je dis un enfer car ce fut la cacophonie pour quelques jours encore. Les bébés font toujours le même effet aux gens, s’a l’es rends gaga. En plus, nous, nous étions deux. La joie! Deux fois plus gaga! Nous avons chacune été prise dans les bras de chaque visiteur, si ce n’est pas deux fois plutôt qu’une. Et nous qui n’avions que quelques jours, se fut assez fatiguant. Seul un instant, enfin un présent me restera gravé en mémoire….L’obtention de nos chainette, chacune d’elle avec notre lettre respective. Un jour, elle me permettra de croire…Le calme se fit après quelques jours, et nous pûmes profiter enfin de cette instant de bonheur avec nos parents, le temps que nous pouvions.

||Tragédie||

Ce fut en vendredi soir, où notre vie à ma sœur et moi bascula. Plus précisément le 19 Août, alors que Mamie prenait soit de nous, avec une attention toute particulière, que nos parents nous laissèrent à ses bons soins pour aller fêter leur 8ème anniversaire d’amour. Jusque là, tout va bien. Nous avons passé la soirée comme à l’habitude, avant de quitter Jeffrey nous mirent notre pyjama avant de nous mettre au lit. Ce fut malheureusement la dernière fois que je sentis les mains de mon père sur moi, tout son amour et sa passion qu’il portait et pour nous, et pour maman. Étrangement, j’ai toujours un petit quelque chose au fond de moi qui me rappelle cet instant, comme si il m’avait donné de se sentiment pour que jamais je ne l’oublie. Mais bref, ce fut la dernière fois…

Ce sont les cris de ma sœur qui me réveilla, ses pleures n’annonçant rien de bon dans ce cas-ci. J’entendais des gens parler ans l’autre pièce, mais j’étais trop jeune pour comprendre un traitre mot. Seulement, leur ton de voix pouvait clairement me faire comprendre que ce n’était pas bon. La porte d’entrer se referma, et j’entendis les pas de mamie entrer. Se dirigeant vers le berceau d’Anna qui pleurait toujours, je compris la gravité de la situation, oui même à mon âge. C’était fini. Et tout cela ne faisait que commencer. Drôle de jeu de mot n’est-ce pas? Pourtant c’est ce qui arriva…

Après l’épisode de l’orphelinat, je fus accueillit par une jeune famille, qui dégageait une forte personnalité. Là, il ne faut pas se fier aux apparences. La forte personnalité, il ne faut pas la prendre toujours de façon positive. Jusqu’à l’âge d’un an, je su m’adapter à leurs style de vie différent de la mienne, la mienne d’autrefois, et en général, tout ce passa assez bien. Je n’étais pas un bébé très demandant, ne pleurant qu’occasionnellement, ne demandant pas grand-chose en faite. J’appris à marcher assez tôt, et j’étais loin de me douter que cela causera mon enfer.

Dès que je fus apte à marcher, mon ‘’paternelle’’ ne se pria nullement pour devenir assez dure avec moi. Pour lui, un bébé qui marche est un bébé fort, il peut donc endurer bien des choses. En effet, j’ai endurée bien des choses, et durant quelques mois, ses coups me firent atrocement mal. J’ai compris assez rapidement par contre, que lorsque je pleurais, cela avait le malheur d’être pire. Heureusement, mais un peu tard à mon goût, ma tuteur maternelle fit cesser se carnage alors que j’atteignis l’âge de deux ans. Elle ne quitta pas cet être ignoble, mais lui promis de partir aux moindres nouveaux gestes de violence à mon égard. Je fus donc tranquille pour un certain temps.

Mon entré à l’école ne se fit pas remarquer. Je n’arrivais pas d’une famille riche, ni d’une famille trop pauvre, et j’étais une enfant assez tranquille, de peur de recevoir à nouveau des coups, malgré le fait que ce n’était plus le cas depuis maintenant 4 ans. Les autres enfants m’ignorèrent, les plus curieux s’approchait mais ne restait pas bien longtemps. Je ne parlais pas, et attira l’attention le moins possible sur moi. Bon, ma chevelure rousse ne m’aida pas beaucoup pour cela, mais une fois que les autres étaient habituées, ils s’en lassèrent assez rapidement. Je ne prenais pas l’autobus, marchant du haut de mes 6 ans un kilomètre et demi le matin, et le même trajet le soir, pour retourner à mon chez moi. Je n’entretenais pas vraiment une très bonne relation avec ma famille d’accueille, mais ils me laissaient tranquille, si je faisais de même. Je ne déménageais pas de famille en famille non plus, alors je ne pouvais pas trop me plaindre.

L’école primaire fut donc ainsi, sans embrume, sans événement extraordinaire non plus. Je fêtai mes anniversaires seule, sans même un petit présent de la part de mes parents adoptifs. Je n’avais pas créée de liens avec d’autres enfants de mon âge non plus, étant seule au monde. Pourtant, je me sentais plus seule, qu’une personne normale, il me manquait une partie de moi-même. Et j’avais beau chercher, je ne trouvai pas se qui me manquais.

Durant l’été qui faisait office de passerelle entre mon primaire et l’école secondaire, j’eus une grande surprise. Je partais avec ma famille d’accueille en camping pour l’été. C’était bien la première fois! Et malgré mon enthousiasme du début, j’aurais du me méfie, ce que je n’avais pas fait. Nous avons donc fais nos valise pour partir loin, très loin de ma jeune vie. Nous nous sommes rendu dans une grande ville, nommé Québec, loin de la petite ville en Outaouais dans laquelle j’avais grandis. Ils m’apprirent que j’étais né ici, et que c’était un environnement bien meilleur pour moi. Ah bon. Nous ne sommes donc pas partie en camping, mais nous sommes bien déménagé ici, sans me laisser la chance de dire au revoir…Bien que tout le monde se foutais bien que je parte! Je passai donc mon été dans une nouvelle maison en banlieue, essayant de me donner des points de repère dans cette immense ville inconnu. Mais là ne fus pas mon cauchemar.
Alors que je débarquai mes sacs de la voiture, ma ‘’mère’’ étant à l’intérieur, mon père m’apostropha.

-Tu sais Kim, tu es devenu une jolie jeune fille…

-Mon nom est Kimberley.

Je plantai mon regard dans le sien. Il se prenait pour qui? En plus de m’appeler Kim, ce qui me déplaisait grandement venant de sa part, il avait osé me faire la cour? Non mais il était un vrai pervers celui là! J’essayer de le contourner pour aller porter mes sacs, mais il m’agrippa fermement le bras.

-Ce n’est pas terminer, Kim…. Tu seras a moi d’une façon ou d’une autre ma jolie…

Jamais! J’avais compris dans cette phrase toute ses intentions, et je dus admettre que j’avais peur. Je me dégageai le bras, quittant vers la maison, ayant la certitude que ce n’était pas terminé, et je ne m’étais pas tromper. Il était tard, près de minuit, et j’entendis les pas de mon ‘’paternelle’’ malgré tout ses efforts. Il ouvrit ma porte, je tenais fermement ma couverture sur ma tête. J’entendis le déclique de la porte qui se refermait, et j’espérais désespérément qu’il ne soit pas entré. Bien entendu, c’était improbable. Je retins mon souffle alors qu’il prit la parole.

-Kimmy… J’ai envie de te voir… Sort de sous ses couvertures ma belle…

Par réflexe, je resserrai mon étreinte sur mes couvertures, ne voulant nullement pas le voir. Bien entendu, il était plus fort que moi, il n’eu donc aucun mal à retirer se tissus qui me recouvrait jusqu’à la tête. Je l’entendis prendre une grande inspiration, s’approchant de mon lit d’avantage, embarquant même dessus. La respiration rapide, je ne pouvais plus bouger, la peur m’accablait. Je sentis alors sa main remonter sur ma jambe, jusqu'à mon ventre, pour se déposer sur ma poitrine. Je tremblais, mais loin de là de plaisir. J’avais peur, j’étais répugner.

-Si tu collabore, tout ira bien…

Avais-je vraiment le choix? Si je pouvais faire en sorte que tout cela se fasse vite et sans douleur, je ne devais pas bouger. Il profita donc de moi, de mon corps de jeune adolescente, sans aucune pudeur, et sans vraiment de délicatesse. Il ne me frappa point, ce qui fut bien dans se sens. Il me prit sans aucune retenu, se foutant complètement de moi, prenant son pied. Se fut bref, et il quitta ma chambre, me laissant nue comme un vers sur mon lit. Des larmes silencieuses coula sur mes joues, maudissant la terre entière de me faire vivre cette enfer, moi qui n’avait rien fais pour le mériter. De la main, je vins prendre entre mes doigts ma chaine que je ne m’étais jamais séparé, la seule source de mes parents biologique. Je maudissais la terre, de me l’es avoirs arracher, sans plus.

Le mois de septembre arriva avec une lenteur inimaginable. Mon tuteur légal était venu à quelques reprises se satisfaire sexuellement, fallait croire que ma ‘’mère’, n’était pas géniale au lit. Le savait-elle? Je n’en avais aucune espèce d’idée. Si oui, elle cachait bien ses réactions. Quoi qu’il n’était pas mieux. Il faisait comme si de rien n’était, alors que moi je me sentais sale et dégoutante. Chaque matin qui suivait ces violations de mon corps, il lisait le journal à la table, m’ignorant complètement. C’était parfait ainsi selon moi. Bref, le jour de mon entrer dans ma nouvelle école, cela avait été répété 8 fois. J’en avais assez, vous ne pouvez croire, mais comment mettre fin à tout cela? Je n’avais que douze ans, il était plutôt difficile de lui faire face. Heureusement, je serai moi en contact avec alors que je commençais l’école secondaire.

Mon arrivé dans ce nouveau milieu fut très remarquer. En effet, j’étais décidé à changer. Et j’avais changé! Habillé à la dernière mode, les cheveux roux jusqu’au milieu de mon dos, maquillé juste comme il se doit, tous les garçons tournèrent le regard vers moi. Tant qu’a avoir perdu ma virginité d’une façon aussi brusque, pourquoi maintenant ne pas en profiter? C’était bien mon idée, et je fus bien heureuse de voir des garçons de 15-16 ans s’intéresser à moi. De plus, je fus remarqué également des filles, obtenant leurs jalousies de toute part. J’avais beau n’avoir que douze ans, j’étais déjà bien munie, pas pour rien que mon ‘’paternelle’’ aie tant envie de mon jeune corps. C’est sur que comparativement à ma chère mère adoptive, ce n’était pas dur de faire mieux mais bon. C’était une juste une pauvre vieille femme plate… plate dans tous les sens du terme! Bref, je me battis donc une toute nouvelle réputation, celle de la fille populaire des garçons brancher. Seuls quelques uns d’entre eux sont venu partager ma couche, faut quand même penser que j’ai du goût. Donc plusieurs mecs de 4ème et 5ème secondaire passèrent entre mon corps maintenant expert, malgré mon jeune âge, et en eurent pour leur plaisir…

Plus les années avancèrent, plus je grandis en beauté. Une belle jeune femme rousse, secondaire 4, connu de tous, autant élève que professeur…Car les jeunes garçons commencèrent à me lasser…Trop immature j’imagine! Les hommes plus vieux, plus virile, m’attirais maintenant d’avantage. J’avais maintenant 15 ans, et ses pulsions sexuelles qui grandissaient en moi faisait en sorte de m’enrager d’avantage. J’expliquai mal se nouveau sentiment de colère et de frustration en moi. En faite, non, je comprenais tout à fais d’où il venait…

Lors de l’été 2007, cet homme qui me servait de tuteur est allée trop loin. J’avais enduré ses viols sans rien dire, participant même au fil du temps, puisque je n’avais pas vraiment autre chose à faire. Mais cette fois, là, j’en ai eu marre. Il est entré dans ma chambre, aux environs de minuit comme à l’habitude. Ces soirs là, je le sentais, je savais donc quand il viendrait. Et encore aujourd’hui je l’attendais. Il y avait par contre quelque chose de différent cette fois. Dans les mains, il avait une paire de menotte, et un contenant qui contenait une petite pilule… J’endurais bien des choses, mais pas la drogue… Je me levai de mon lit, et devinant mes intentions, me frappa durement du revers de la main, me faisant retomber sur mon lit.

-Salope, tu va rester tranquille!

Je me retournai pour le regarder, me mettant sur le dos pour lui faire face. Sauvagement, il me retourna sur le ventre, et d’une main experte, empoigna mes poignets pour les attacher avec les menottes sur ma tête de lit… Sans plus de retenu, il arracha mes vêtements, et les siens de même, montant sur moi de son corps imposant. J’aurais eu beau vouloir me débattre, s’était peine perdu. Il me plaqua la main sur la bouche, et je sentis le comprimé d’extasie glisser sur ma langue. J’essayai de le recracher mais il tenait fermement ma bouche, je ne pu donc pas m’en débarrasser. Je dois admettre que l’effet ne fut pas long à se faire ressentir, et heureusement! L’idée de cet homme se soir, était nul autre que la sodomie…et grâce à se petit comprimé, je n’ai pratiquement rien ressentit, bien que mon égaux et mon orgueil en ont prit un coup. Il allait et venait en moi, de cette façon si répugnante, sans ce soucié de rien du tout. Il fit la gaffe de sa vie, se soir la. Dans son élan, il accrocha ma chaine, et je l’a sentit forcer sur mon coup avant de briser sous la force exercé pas ce violeur d’enfant. Le pire, c’est qu’il n’en prit même pas conscience!

-Ah oui, Kim…

-C’est KIMBERLEY!

D’une force que je ne me doutais même pas d’avoir, je réussi à briser le barreau de bois qui me retenais à l’aide des menottes. Malgré mes mains toujours liées, je me retournai subitement, de façon très habile, le repoussant de sur moi. J’allai prendre son visage entre mes deux main, le serrant de plus en plus fort.

-C’est KIM-BER-LEY!

Et d’un coup, mon instinct me somma de lui arracher la tête, le mordre, le dévorer, comme un carnivore attaque sa proie. Et étrangement, je me surpris à adorer se goût de la chair humaine. Il m’avait tellement fais souffrir, peut-être était-ce la raison de se sentiment de satisfaction.
Je me délectai de se sang chaud, incroyablement nourrissant, jusqu’à la dernière goutte. Une fois terminé, je me suis habiller rapidement, et j’ai pris d’une main ma chaine brisé avec mon médaillon, et de l’autre la tête décapité de mon tuteur. Je marchai dans le corridor, nu pied, vers la chambre où dormait sa femme, entra sans frapper mais avec un bruit infernal. Lançant la tête sans membre sur le lit, je vis le regard effrayé de cette femme.

-Il ne méritait pas mieux.

C’est la dernière fois que je l’a vit…

***

J’étais dans une nouvelle école depuis, toujours dans la ville de Québec, avec toujours la même réputation. Seulement, certaines personnes commençaient à se poser des questions. Quelques élèves masculin de l’école manquaient à l’appel, mais je m’arrangeai toujours pour que rien ne l’es relit à moi, moi la croqueuse d’homme… J’avais maintenant 16 ans, et je m’étais réfugié dans une maison abandonné. Je me débrouillais très bien, sauf pour ce qui était de l’argent… Quelques petits vols m’avaient permis d’en amasser suffisamment pour les études mais pour ce qui était du reste…Je devais trouver quelque chose de payant… Ce ne fut pas très compliqué en faites. Sans vendre mon corps dans la rue, je chargeai maintenant pour mes services sexuels, et je fus ravi de voir que je ne perdais aucune clientèle pour autant. Au moins, sa me donnerais de l’argent de poche et de quoi me réchauffer au prochain hiver. J’avais bien entendu depuis le temps, fais réparer mon médaillon, pour lequel je ne me séparerais pour rien au monde.

C’est en cours d’éducation physique que je fis la rencontre qui allait bousculer à nouveau ma vie. Je n’avais aucun souvenir de mes parents biologique, et je n’avais eu aucun contact avec ma véritable famille depuis mon ‘’adoption’’. Mais je savais, à cet instant précis, qu’elle faisait partie de moi, qu’elle était la partie manquante de mon être. Je faisais partie de l’équipe de Volley du secondaire, étant assez douer pour tous les sports comportant un ballon ou une balle…Quoi que je me débrouille bien dans toutes les autres activités sportives… Se fus d’un smash violent que je frappai le derrière de la tête d’une jeune femme rousse, qui se retourna vers moi, le regard meurtrier. Seulement, elle ne le garda point, et nous réagîmes de la même façon. Le regard ahurie, j’avais l’impression de rêver. Une moi? Un véritable sosie, sauf pour se qui était des vêtements, et une marque sur le poignet gauche. J’étais bouche bée? Moi, Kimberley Rask, j’avais une jumelle? Peut-être était-ce une simple coïncidence… Non, impossible, pas avec tant de ressemblances. Les mêmes cheveux roux, les mêmes joues rosées, les mêmes lèvres pulpeuses… Je m’approchai de la fille, sans sourire, mais sans être froide.

-Tu es une Rask?

-Et toi une Rask?

Et c’est tout, nous avions compris. Mais pourquoi n’avions nous pas été prévenue de se liens de parenté avant? Je glissai mon regard vers son cou, apercevant la chainette qui était pendu. Un A, de la même consistance que le mien, y était accroché. A, A…

-Annabelle…

Elle avait également dit mon prénom, et un sourire malsain apparu sur nos lèvres à chacune. Le souvenir de notre nom était bien enfouit au fond de nous, mais nous la savions, et nous avons su ce jour là que nous serions des êtres inséparables!

J’ai aujourd’hui 18 ans. Je suis déménagée avec Anna quelques jours à peine après notre rencontre, à la suite du meurtre de sa famille d’accueil, que je savais très bien être son œuvre. Nous étions pareils sur se point, des êtres assoiffées de sangs…Une sorte de vampire, mais plus précisément une Damnée. J’avais fais des recherches sur le sujets, trouvant un livre ancien à la bibliothèque de l’école, racontant l’histoire de cette race dites perdu… Nous étions fière d’être se que nous étions, et malgré nos différences de comportements, nous étions trop pareille. Des vrai jumelles jusqu’en enfer!!!

Vous devez comprendre que je ne suis pas mannequin pour rien. Imaginez, j’avais déjà de belles courbes à l’âge de douze ans, imaginez maintenant! Je suis grande et svelte, et grande est un bon mot. Je crois que pour une fille, 5,10 sa a de l’allure! Les gens s’imaginent toujours les rousses couverte de tache de rousseur…Et bien se n’est pas mon cas! J’ai la peau claire, qui malheureusement ne bronze pratiquement pas au soleil. Assez embêtant pour les brulures! Comme dit, j’ai les cheveux roux, et j’adore sa! Sa attire les regards, c’est donc parfais dans mon cas. Ils sont longs, légèrement ondulé naturelle, plat une fois plaquée, reflétant à n’importe qu’elle lumière! Sa donne un look pervers et aguicheuse, deux mots me décrivant assez bien. Seul chose que je n’apprécie pas de moi, se sont mes yeux… Ils sont brun caramel, un rayon doré entoure ma pupille, un reflet oranger qui se fond bien avec ma chevelure en pleins soleil…. Finalement, je n’ai rien dit, j’adore mes yeux! Des courbes bien présentent, des longues jambes minces, des lèvres roser légèrement pulpeuse. Pas de toute, je suis tout simplement parfaite!

La psychologie….Je n’ai jamais aimé cette matière à l’école, quoi qu’elle a eu son charme lorsque nous avons abordé la psychologie masculine… Bref! Faut pas se fier au cours, croyez moi! Il ne faut pas non plus se fier aux apparences…Quoi que dans mon cas, peut-être bien oui! Je suis une fille désireuse et désiré, mesquine, joueuse, agressive, sauvage, manipulatrice, aguicheuse, obsédée… En voulez vous d’avantage? Alors je continue, je suis également possessive (en se qui a trait à ma sœur) compulsive, tête dure, orgueilleuse, fille facile… Oh, ne croyez pas que je ne suis pas d’ôté d’amour! J’ai la capacité d’aimer, seulement, il me faut une très bonne raison! J’adore ma sœur, et je ne laisserai jamais personne ne lui faire du mal…Quoi qu’elle est très bien capable de se protéger toute seule! J’aime l’alcool, j’en abuse assez régulièrement, quoi de mieux qu’avoir une sœur barmaid dans son lieu de travail? La drogue, j’y touche pas. Je sais qu’Anna en est accro, et je la laisse faire ce qu’elle veut, mais c’est no way pour moi! Déjà un bon point non? Lucide jusqu’à un certain point, les pieds sur terre jusqu’à un moment de folie.

|| Clan désiré : Damnée