Mythe ou Réalité?
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 Jaymz Adams

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Jaymz Adams
Propriétaire & Banquier
Jaymz Adams


Messages : 93
Date d'inscription : 09/04/2010
Localisation : L'ombre d'une présence nul part et partout à la fois

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MessageSujet: Jaymz Adams   Jaymz Adams I_icon_minitimeVen 9 Avr - 14:49

| Sur votre Personnage |


Nom : Adams
Prénom : Jaymz
Surnom : -
Âge : 23 ans

Statu : Propriétaire d'une riche entreprise: Adams Industrie
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Histoire : Toute bonne ville à la compagnie mère qui la règne. Et ici, on n’échappait pas non plus à la chose. Son nom : Taylor Industrie. Le nom du propriétaire? Lucius Taylor, riche héritier de son père, pourri gâté. Vous savez? Un lâche mou et pathétique, qui hérite sans l’avoir mérité d’une compagnie qui lui rapportera des millions, même des milliards de dollars pour le restant de sa vie! Et bien c’est ce genre d’homme qu’était Lucius. Laissez moi vous dire que son leadership était totalement à zéro, aucune discipline, aucun respect de la chose, aucune autorité! Qu’avait pensé son père de lui léguer cette entreprise? Bien des gens s’en posaient encore la question mais nul ne possédait de réponse. Mon histoire? Elle commence là, enfin pas tout à fais encore, mais elle viendra.

Lucius avait hérité de cette compagnie lorsque son père le jugea près, soit vers l’âge de 25 ans. C’était pourtant un vrai looser. Il n’avait aucune ambition, il vivait encore chez son père qui était veuf, n’avait poursuivit aucune étude supérieur, même pas le collège! Il n’avait pas de projet d’avenir, pas de femme…Pas de vie! Et le pire dans tout cela, il n’avait même pas l’air heureux que son père lui donne le titre de riche propriétaire sur un plateau d’argent. Pourtant, il ne comprenait pas qu’il avait de la chance? Là était le moyen de se refaire une vie. Bon il ne pouvait pas vraiment devenir moins minables, mais au moins riche et fier de l’être. Sa vint avec le temps.

Cela faisait maintenant environs deux ans que Taylor avait succédé à son père à Taylor Industrie. Il commençait à peine à prendre le tour, mais les employés ne s’en plaignirent pas vraiment, enfin pas encore. Rien de mieux qu’un patron avec la main molle selon eux. Mais la fut l’entré en scène de Laëticia Adams. Son métier? Professeur à l’université, âge : 26 ans, physique, grande blonde aux yeux bleu, l’image parfaite d’une femme selon les hommes de se temps. Elle, elle avait des ambitions à la tonne! Elle venait de compléter son Baccalauréat au la main et avait été engagé sans discutions par l’université du coin. Nouvelle dans la ville, elle ne connaissait pas vraiment les gens qui y vivaient. C’est donc grâce à cette faiblesse que Lucius pue l’avoir, l’a charmé en quelque sorte. Lui était fou d’elle, elle l’appréciait bien. Seulement, elle ne se voyait pas passer sa vie avec un homme comme lui, malgré sa richesse. Mais elle le fréquentait, lui comme couple, elle comme simple ami…

Ce fut lors de la soirée d’anniversaire des trois ans de Lucius en tant que président de Taylor Industrie que tout dérapa. Son père était présent, invité d’honneur même, et l’homme âgé maintenant de 28 ans avait invité sa tendre amie à cette soirée. Bien sûr, caviar et champagne coulait à flot, soirée que seuls un riche actionnaire et quelques employer spéciaux pouvaient assister. Mais sachez que l’alcool n’est jamais un bon allier quand vous l’utilisé pour vous-même. Pour faire plaisir à Lucius, Laëticia prit quelques verres de champagne, pensant pouvoir rester raisonnable. Après tout, c’était la fête non? Mais après le champagne apparu le Cogniac, le gin et le grand Marnier…Erreur fatal pour la jeune femme. Elle allait s’embarquer la dans une aventure qu’elle n’avait pas souhaité, et se sans en avoir conscience…
C’est environ un mois plus tard, après maintes et maintes nausée matinale que Laë’ ce décida de passer un test. Pourtant, aucun prétendant n’avait partagé sa couchette depuis son arrivé ici…Elle alla donc à l’hôpital passer une série de test : prise de sang, E.C.G, et examen abdominal du médecin. Elle attendait présentement sur un lit à l’urgence, en jaquette bleu de l’hôpital, attendant des résultats. Ce fut tout un choc d’apprendre la nouvelle. Elle, une femme si responsable et a son affaire, allait avoir un enfant de père totalement inconnu! La n’était pas mal sain, ce n’était pas à cause de nombreux prétendant et du doute de lequel pourrait bien l’être. Mais elle n’avait aucun souvenir…

Elle prit la décision de garder le bébé, malgré le fait qu’elle ne vivait qu’en appartement, que l’université ne lui donnait aucune assurance de salaire parce qu’elle n’avait pas fais deux ans de service et qu’elle soit complètement seule. Elle était totalement contre l’avortement, elle n’avait donc pas le choix de mettre cette grossesse à terme. Elle apprit la nouvelle à Lucius, qui fut terriblement mal à l’aise soudainement. Elle, elle ne fit aucun lien, lui par contre, se rappelait totalement de sa soirée. Il su donc que cet enfant qui grandissait à l’intérieur de sa tendre amie venait de lui. Mais tel une mauviette, il décida de ne pas dire un mot, et sans explication, il s’éloigna doucement mais surement de Laëticia. Se fut donc complètement seule, plus qu’elle n’aurait pu le comprendre, qu’elle passa ses huit long moins de grossesse qui lui restait…

Alors me voilà, et oui, Jaymz Adams, petit bout de chou tout mignon née un 25 septembre. Sans complication durant la grossesse ni l’accouchement, je pointai le bout de mon nez au bonheur de ma mère. Elle m’avait attendu tellement longtemps, et elle n’avait que moi maintenant. Son précieux, son bijou. Sa nouvelle vie. Je fus terriblement choyé malgré la pauvreté dont ma mère souffrait alors, sans aucune aide financière autre les prestations familiale et le bien-être social. Elle s’arrangeait toujours pour que je ne manque de rien, même si elle devait la majorité du temps se priver de quelque chose, elle. J’adorais ma mère, là n’était pas un point discutable. Elle fut pour moi la meilleure chose qui aurait pu m’arriver. Seulement, le bonheur à toujours une fin à ce que l’on dit…

La mienne arriva alors que j’étais âgé de douze ans. Avec tout ses manques auxquels elle faisait fasse, un peu par ma faute, ma mère tomba gravement malade. Sans que je n’aie pu faire quoi que se soit, elle fut hospitalisée quelques heures seulement après les symptômes. J’étais à l’école cette fois là, et se fut un ambulancier qui vint me chercher en pleine classe. Blanc comme neige, je le suivis jusqu’au véhicule avec lequel il était venu, soit l’ambulance, ce gros camion jaune pour lequel nous les enfants, avons de grands fantasme. Mais ses derniers se sont complètement envolés cette journée là. J’arrivai dans cette chambre blanche et froide, voyant le visage blafard de ma mère étendu sur se petit lit d’hôpital. Lorsque j’arrivai près d’elle, elle tourna la tête vers moi, et je me souviendrai toujours du regard emplit de désespoir qu’elle m’offrit alors.

-C’est ici même, dans cette chambre, que j’ai prit connaissance que tu allais naître. Sache mon fils que je ne regrette rien…

La main de cette femme qui avait été tellement importante pour moi vint se déposer sur ma joue, et je me rappelle encore qu’elle était frêle et glacé. Elle a fermé les yeux doucement, et c’était terminé. Comme sa, sans plus. Sans avertissement. Mais qu’allais-je devenir maintenant? Je n’avais plus de famille, aucun oncle, aucune tante, ni frère ni sœurs, même pas de grands-parents! Qui allait donc prendre soin de moi?

Je n’aurais jamais cru que la fin de mon bonheur serait également le début d’une longue et douce vengeance. La journée ou ma mère est morte, un homme fit apparition dans le portrait de ma vie. Cet homme prétendait être mon père. C’était nul autre que Lucius Taylor, président de Taylor Industrie, l’homme le plus fortuné du coin. Pourquoi n’avait-il pas voulu faire acte de courage avant? Sans doute avait-il peur de la réaction de ma défunte mère, une femme si gentille et attentionnée. Lamentable! Étonnamment, je le suivis sans dire mot, sans pleurer ma mère, ayant séché mes larmes à lorsque je connu l’identité de l’homme devant moi. Nous n’avons plus jamais parlé de cet événement, ni de ma mère d’ailleurs. Mais au fond de moi, je savais que sa mort ne resterait pas sans reste!

Je fis donc mon adolescence dans le monde des riches et des snobs, sans échappé à tous ses enfantillages de la bourgeoisie. Mais moi, maintenant inatteignable, fit l’enfant modèle du riche nouvellement père. J’appris bien vite à vivre comme eux, à parler comme eux, à agir comme eux, moi qui avait vécu mon enfance dans la pauvreté. Mais ce temps était fini, j’en avais bien conscience. Mon père me changea d’école, pas assez bonne mon ancienne selon lui. Je fus donc inscrit dans une école privé pour le restant de mon secondaire. Pour jouer le jeu à fond, je réussi à sauter d’une année scolaire pour finir ainsi mes études secondaire à l’âge de 15 ans. Je fus inscrit au collège pour suivre des études en administration, puisque bien entendu, l’entreprise familiale me reviendrait. Je fis donc un programme Dec/bac, ayant ainsi l’opportunité de terminer l’université à l’âge de 20 ans. Parfais, cela m’a donné le temps de peaufiner ma vengeance.

Dans la vie, bien des choses se produisent. Parfois, ces choses sont voulu, appréciées. Parfois, ils se produisent dans des moments mal opportuns. J’ai vécu sans vivre, j’ai grandit sans survivre, puisque je ne peux pas vivre. Drôle de philosophie me dirai vous. Mais non, ce n’est pas une philosophie, ni un principe, ni même un choix! C’est ainsi, simplement. Depuis quand? Je vous dirais depuis l’âge de douze ans. Vous comprenez? Peut-être. Mais de toute façon, je n’ai pas terminé. Alors ne soyez pas inquiet.
C’est lors de la soirée suivant ma cérémonie de graduation que tout s’est déclaré pour moi. Le soir où je tuai mon géniteur. Oui, vous avez bien compris. Cette homme qui n’a pas prit ses responsabilité le jour où il aurait du les prendre et que par sa faute, ma mère, cette femme si donnante, a péri. Lucius Taylor mourra se soir là de ma main. Comment les gens de mon entourage auraient bien pu me soupçonné, moi qui aimait tant mon père! Pff! Que de sottise! Se soir la, Lucius avait été retardé au bureau pour raison administrative qu’il avait dit. Tant mieux, cela serait vite réglé! J’avais été le rejoindre, personne d’autre que lui était dans les bureaux de Taylor Industrie. Encore mieux! Avais-je un plan? Simple. Un pistolet, une balle. Le classique quoi! J’aurais voulu le faire souffrir, comme Laëticia avait souffert, mais cela serait plus difficile de passer cela inaperçu alors. C’était toujours mieux que rien, la mort. J’entrai dans le bureau principale, où est installée mon ‘’père’’ qui releva la tête lorsqu’il m’entendit entrer.

-Tiens, Jaymz, que fais-tu ici?

Il me regardait songeur, moi avec un sourire mystérieux et un regard emplis de haine. Il ne pouvait se douter de ce qui allait se produire. Fermant doucement la porte derrière moi, je m’approchai de mon géniteur, qui enleva doucement ses lunettes.

-Tu a fais mourir la femme la plus extraordinaire de se monde, tu ne mérite pas cette place sur cette terre!

Sans plus un mot, j’allai chercher le pistolet, installée sur ma ceinture caché par mon blouson. Sans aucune honte, ni regret, je tirai sur cette homme qui avait prétendu être mon paternelle, après douze année comme un fantôme. Une balle, là où il n’y a aucune chance, sur la tempe de sa tête. Aucune souffrance, ce qui fut malheureux. Lorsque l’âme quitta se corps de mauviette, je m’approchai de lui, glissant l’arme dans sa main, que j’avais pris bien sûr avec des gants. Tournant mon regard vers le bureau, je pris papier et crayon pour inscrire un mot, tel un message précédent un suicide. Aussi simple que sa. Un travail vite fais bien fais. À un détail près : quelqu’un arrivait! J’allai m’installer le long d’un mur près de la porte, pour me cacher si la personne advenait à entrer. Ce qui se passa par la suite, je ne pourrais vous expliquer le pourquoi de la chose! Je me sentis entrer dans le mur froid, comme aspiré par ce dernier. Un homme de la compagnie entra, voyant Lucius Taylor une balle dans la tête. Apeuré, il se retourna pour quitter la pièce, mais se figea une fraction de seconde, ayant l’impression de voir une ombre près du mur…

La lettre expliquant clairement que la compagnie serait maintenant MA propriété sans aucune autre indication, c’est ainsi que moi, Jaymz Adams, prit possession de Taylor Industrie qui fut bien évidemment changé de nom. Adams Industrie sonnait bien mieux! Ce soir là, je n’ai jamais vraiment compris ce qui c’était passé. C’est le 25 septembre, le jour de mes 21 ans, que j’eu enfin une explication à la chose.

Un être étrange vint me rendre visite dans le bureau ou mon père s’est suicidé. Un peu dans le même principe, il entra dans le bureau, je relevé la tête, il ferma les portes doucement derrière lui. J’eu comme un déjà vue mais j’en doutai. Ce, personnage, s’avança vers moi, et prit place sur le fauteuil face à moi. Sans aucune émotion, je le regardai faire. Je ne lui sommai pas de partir, ni qui il était. J’avais cette impression qu’il avait quelque chose d’important à me dire et je ne fus pas déçu.

J’appris se soir la ma véritable identité, et le pourquoi j’étais ainsi. Je suis Jaymz Adams, de la race des Ombres. Lorsqu’elle apprit son état, qu’elle était prégnante, elle avait couru, longtemps, loin…Elle est tombée dans une espèce de cratère, et elle y resta quelques jours. Sans me donner les détails, elle devint ombre à ce moment là. Et lorsqu’elle quitta se monde, elle m’eu transmit son don. Comment? La communauté des Ombres ne comprirent jamais comment elle avait fait. Mais elle avait tout de même réussi. Une sorte de, sacrifice. Il m’apprit se soir là tout ce que je devais savoir en cour compensé, et j’allai me réunir avec eux, les autres de son espèce à maintes et maintes reprise depuis se jour. J’étais donc l’un des leurs, fier de l’être et fervent dans ma quête de donner mon savoir à un élève, un ou une Iräkïne!

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Description physique : Le physique…Très important! Être propriétaire d’une grande compagnie comme la miennes oblige bien des choses. Garder une belle apparence en fais partie, bien que je n’ai pas besoin de faire bien des choses pour me garder plus que présentable. Mais pour satisfaire vos exigences… Donc voici. Je suis un jeune homme de 23 ans, de grandeur respectable, soit 5pied et 10. J’ai toujours eu les cheveux d’un noir de Jais, qui heureusement pour moi, ne frise pas. Je peux donc me permettre de les laisser mi-long, mais de longueur tout de même professionnelle. Avantage dans mon milieu, la couleur de mes yeux. D’un gris d’acier presque hypnotisant, ce que je trouve ennuyeux c’est lorsque je n’ai aucun contact visuel avec la personne avec qui j’interagis. Il est vrai que je suis un être respecté avec un pouvoir incontesté, peut-être baisse-t-il le regard pour me porter respect… Pour ce qui est du reste, dents droites et blanches, peau saine sans imperfection, bâti selon les règles de l’art…Un être pratiquement parfait! Seulement, il ne faut pas se fier aux apparences n’est-ce pas?

Description psychologique : Que se passa-t-il dans la tête d’un riche homme d’affaire? Très bonne question. Je vous dirais que pour moi, il y règne plus qu’un être. Nous avons tous plusieurs facettes de notre personnalité, et nous choisissons de montrer aux autres celle qui nous va le mieux. Personnellement, je trouve que c’est tout simplement de la bullshit! Comment voulez vous que je mette à nue le vrai Jaymz Adams? Je ne suis pas très convaincu que j’aurais le même impact. Certes, je serais sans doute quelqu’un d’imposant, effrayant même à la rigueur, mais aurais-je le même genre de pouvoir? Permettez-moi d’en douter. Mais pour la simplicité de la chose, voici ce que je me permets de montrer, malgré certaines contradictions. Je suis un employeur ouvert et agréable à avoir. Je suis de nature empathique, mais discipliné. Surprenant? En effet, car je ne suis pas ainsi au fond de moi. Mais pour bien paraître, tout es permis! Ma devise, apprendre à être gentil pour être un meilleur méchant…
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Avatar : Adam Lambert

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